top of page
Kâlî

NOTES DU TRADUCTEUR

Cliquez sur le numéro de la note pour revenir à l'endroit du texte

N1 à 2
N 6 a 8
N 3 à 5

1. [Cf. Judit Törzsök, « The (un)dreadful goddess: Aghorî in early śâkta Tantras », 2012 – HAL Archives-ouvertes.fr] 

 

2. [Shaman Hatley, « The Origins of the Skull and Skull-staff: Excerpts from Chapter 83 of the Brahmayāmala. » A session of the workshop « History of Śaivism: readings in inscriptions and early manuscripts », École des Hautes Études en Sciences Sociales, Paris, March 2014 ; « On the accoutrements of the Kâpâlika yogin: skull-staves (khatvânga) in Shaiva myth, ritual, and iconography », Annual Meeting of the American Academy of Religion, November 2013.]

3. [Cf. Judit Törzsök, « Women in Early Śâkta Tantras : Dûti, Yoginî and Sâdhakî », in Tantric traditions in Theory and Practice, Edited by Marzenna Czerniak-Drozdzowicz and Ewa Debicka-Borek, Cracow Indological Studies, vol. XVI, Cracovie, 2014.]  

 

4. [Cf. D. C. Sircar, The Śâkta Pîthas, Delhi, 1973.]  

5. [Cf . Vidya Dehejia, Yogini Cult and Temples: A Tantric Tradition, New Delhi, 1986 ; Judit Törzsök, The Doctrine of Magic Female Spirits. A Critical Edition of Selected Chapters of the Siddhayogeśvarīmata(tantra) with Annotated Translation and Analysis. Thèse (DPhil), University of Oxford 1999 ; Sh. Hatley, The Brahmayāmalatantra and Early Śaiva Cult of Yoginīs, Thèse (PhD), University of Pennsylvania, 2007 ; Judit Törzsök, « Le shivaïsme et le culte des yoginīs dans l’Inde classique. I », Annuaire de l'École Pratique des Hautes Études (ÉPHÉ), Section des sciences religieuses [Online], 116 | 2009.]  

 

6. [Cf. Judit Törzsök, « Yoginî and goddess possession in early śaiva tantras ». Yogini – History, Polysemy, Ritual, Trondheim (Norvège), 2010 – HAL Archives-ouvertes.fr ; Shaman Hatley, « How to Become a Yogini: Female divinization, ritual, and cosmology in the esoteric goddess cults of medieval India », Religious Studies Ideas Series, University of Regina. November, 2011.] 

 

7. [Cf. The Brahmayâmalatantra or Picumata, Chapter 3, 21, and 43, A Critical Edition and Annotated Translation by Csaba Kiss, vol. II, Pondichéry, 2015.] 

7 bis. [Avec Parâ, qui est blanche, on a ici les trois couleurs des gunas (cf. Le Symbolisme de la Croix, ch.5).]

 

8. [Il s’agit ici de la doctrine du renouvellement de la création à chaque instant similaire à celle exposée par Ibn `Arabî au chapitre 334 des Futûhât al-Makkiyya.]  

 

9. [Mahâkâlî est un symbole de l’Essence et les Kâlîs correspondent aux Noms divins en tant que formes de l’Essence transcendante : les Noms ne sont pas l’Essence et pourtant ils ne sont pas autre chose que Celle qu’ils désignent. Les cercles sont un symbole de l’Existence universelle.]  

10. [Référence, sans doute, à la source et aux degrés hiérarchiques des théophanies.]   

11. [Il s’agit d’un degré situé au-delà de l’Être et des états multiples de l’Existence.]  

N 9 a 11
bottom of page