Numéro 17
Janvier, février, mars 2020
édition brochée, 218 illustrations et photographies, couleur, papier couché 120 g, format 19x25, 112 p.
44 €
Revue d'études des doctrines et des méthodes traditionnelles
Cahiers de l’Unité
NOTES
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Les notes et textes entre crochets sont du traducteur
1. Une description et un commentaire de cette cérémonie, avec une référence particulière à la signification du Sacrifice, ont été donnés dans le numéro d’avril 1949 de ce périodique, p. 37-43. Nous recommandons à nos lecteurs de s’y référer.
2. Myth and Ritual, édité par S. H. Hooke. [Myth and Ritual: Essays on the Myth and Ritual of the Hebrews in relation to the Culture Pattern of the Ancient East. A. M. Blackman, C. J. Gadd, F. J. Hollis, S. H. Hooke, E. O. James, W. O. E. Oesterley, T. H. Robinson, Prof. S. H. Hooke, Londres, Oxford University Press, 1933. p. 87-110.]
[3. “The Hebrew tribes, or at least some of them, including Benjamin […], lived in Egypt that is in close proximity to the Temples devoted to the ritual of the Sun-God, for several centuries; and it is significant that “it was in the territory of the tribe of Benjamin (this tribe) that the Temple of King Solomon was built” [Cet extrait est, à quelques légères différences signalées par les parenthèses, l’extrait omis dans la citation précédente.]. This tribe of ‘Benjamin’ seems to have earlier known as Ben-oni (in reference to the city of On, the city of the Sun-God Ra).” Myth and Ritual, p. 87. Nous avons corrigé les inexactitudes de la citation de MCD en nous référant directement à l’ouvrage. MCD a un peu remanié le texte de F. J. Hollis et n’a pas indiqué ses propres incises, nous les avons signalées par des points de suspension entre crochets. Nous avons procédé de même pour les citations suivantes du même ouvrage.]
[4. “the sixth king of the First Dynasty of Babylon (, Hammurabi,) received, on a mountain-top from the Sun-god, his famous law code, with which there are so many parallels in the Book of the Covenant (Exod. xx, 23 – xxiii, 19) […], (and that) the influence of Babylonian myth and ritual in Palestine […] (and) in particular that of the Babylonian Sun-God (is undeniable) – and that not merely before, and at the time of, the Hebrew invasion of Palestine under Joshua, but for long centuries afterwards. Manasseh in particular seems to have come forward as a champion of all things Babylonian and to have favoured the revival of the native Hebrew myth and ritual of the Sun-God by the introduction of specifically Babylonian solar elements.” p. 88.]
[5. “how prevalent sun worship was in Israel and in particular in the Temple of Jerusalem, is proved by the condemnation expressed in no measured terms by the prophets towards the end of the monarchical period, and the apparently somewhat unsuccessful attempts to evict such worship from the Temple and his precincts made by successive reformers.” p. 88]
[6. “I would urge”, Dr Hollis continues, “that the fundamental reason why Sun- worship persisted so tenaciously in Jahweh’s […] self-revelation as Sun-god which held the centre ofthe stage and only gradually re-treated into the background.” p. 89-90. La citation est sensiblement amputée ce qui affaiblit le raisonnement de F. J. Hollis. L’extrait omis, signalé par des points de suspension entre crochets, est : “Jahweh’s sacred precincts in Jerusalem is to be found in the fact that those precincts from a remote antiquity had been a leading centre of such worship. The Jebusites were worshippers of the Sun-god: the Hebrews conquered them, but they did not evict the Sun from his sacred shrine on Mount Zion. It was the Jerusalemites’ conception of” ; « Le fait que l’enceinte sacrée de Yahvé à Jérusalem ait été, dès une lointaine antiquité, un centre de premier plan pour ce type de culte, explique la raison pour laquelle on y trouve le culte de Yahvé. Les Jébusite étaient des adorateurs du dieu Soleil : les Hébreux les ont conquis, mais ils n’ont pas chassé le Soleil de son sanctuaire sacré sur le mont Sion. C’était la conception des Jérusalémites de ».]
[7. M. C. D. fait ici allusion au mot sacré du grade de Royal Arch à propos duquel René Guénon a écrit : « Le mot qui représente dans ce grade la “parole retrouvée” apparaît, comme tant d’autres, sous une forme assez altérée, ce qui a donné naissance à des suppositions diverses quant à sa signification ; mais, suivant l’interprétation la plus autorisée et la plus plausible, il s’agit en réalité d’un mot composite, formé par la réunion de trois noms divins appartenant à autant de traditions différentes. Il y a là tout au moins une indication intéressante à deux points de vue : d’abord, cela implique évidemment que la “parole perdue” est bien considérée comme étant un nom divin ; ensuite, l’association de ces différents noms ne peut s’expliquer que comme une affirmation implicite de l’unité fondamentale de toutes les formes traditionnelles ; mais il va de soi qu’un tel rapprochement opéré entre des noms provenant de plusieurs langues sacrées n’est encore que tout extérieur et ne saurait en aucune façon symboliser adéquatement une restitution de la tradition primordiale elle-même, et que, par conséquent, ce n’est bien réellement qu’un « mot substitué ». Études Traditionnelles, « Parole perdue et Mots substitués », juillet à décembre 1948. MCD était une lectrice attentive de René Guénon et avait une connaissance approfondie de son œuvre, tout particulièrement la partie en rapport avec la Franc-Maçonnerie.]
[8. Cet hymne est le célèbre hymne au dieu égyptien Amon-Râ du papyrus CG 58038 conservé au musée du Caire et dont la première traduction est française et a été réalisée par Eugène Grébaut, Hymne à Amon-Râ : des papyrus égyptiens du musée de Boulaq, Paris, Librairie A. Franck, 1874. Il existe plusieurs traduction anglaises de cet hymne. Aucune de celles que nous avons consultées ne correspond à la citation de MCD. La citation commence à la planche IV de l’édition de Mariette du papyrus que Grébaut (et tous les autres égyptologues après lui) a classé au paragraphe 10 : « Hommage à toi, (ô) maître de la vérité ! (le) mystérieux de sa chapelle, maître (i.e. père) ; Chepra dans sa barque : (lui) émettant la Parole, existant les dieux ; Tum père des êtres intelligents… » La suite se trouve Planche VI fin du § 15 : « Hommage à toi, auteur des formes en totalité ! Le Un qui est seul, … »]
[9. Cf. René Guénon, lettre du 23 janvier 1949 : « Pour la position...
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