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ÉDITORIAL René Guénon

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             Pour cette dernière livraison de l’année 2018, nous publions la première partie d’un texte de M. Patrice Brecq qui aborde en détail la question du début des relations de René Guénon avec ses maîtres hindous. Même s’il avait déjà été affirmé dans cette revue, à de nombreuses reprises, que la formation initiale de Guénon par des maîtres hindous précédait son entrée dans le milieu occultiste, comme l’avait également déjà indiqué autrefois Marcel Clavelle/Jean Reyor, c’est la première fois que l’on examine minutieusement la question et tous les textes qui en ont traité, avec l’appui de documents inédits. Cette étude est importante, notamment en ce qu’elle met une fin définitive à l’opinion, aussi courante que fausse et préjudiciable, d’après laquelle l’enseignement de R. Guénon aurait été tributaire du milieu occultiste. C’est une excellente illustration de ce que nous disons à la fin de ce numéro sur la nécessité de lutter contre les erreurs. Ce travail devrait ainsi mettre un terme à « l’influence pernicieuse que les études de M. Laurant ont pu exercer sur certains, depuis bientôt cinquante ans. »

                     M. Greif continue de nous faire partager ses connaissances sur les  « Amis de Dieu », tandis que M. Guyot nous livre la fin de son étude sur René Guénon et la Maçonnerie opérative, fin qui est le début d’un nouveau cycle de travaux de traductions dans le but de permettre aux lecteurs de langue française d’accéder directement aux textes de Clement Stretton.

            Avec ce douziène numéro se termine notre troisième année de parution. Nous remercions tous nos collaborateurs, et tous nos abonnés d’Occident et d’Orient. C’est grâce à eux que cette revue continue de paraître

 

Julien Arland

Directeur littéraire

Pour citer cet article :

Julien Arland, « Éditorial », Cahiers de l’Unité, n° 12, Octobre-novembre-décembre, 2018 (en ligne).

 

© Cahiers de l’Unité, 2018  

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